Alors que le mot est sur de nombreuses lèvres, que le milieu du spectacle vivant est invité à imaginer des « expériences enrichies » virtualisant parfois complètement la relation aux publics, de nombreux studios s’associent aujourd’hui pour alerter sur son impact écologique. « Le Métavers est à la croisée entre culture de l’optimisation (autant logicielle qu’artistique) et course à la puissance. On retrouve là deux des traits principaux du productivisme. » BonPote, premier média ayant vulgarisé les rapports du GIEC, s’en fait le relai.
Le numérique peut nourrir les enjeux créatifs et servir la transition écologique.
Il faut toujours se poser la question : quel numérique voulons-nous ? et pour quel monde ?